TIRAGE AU SORT MENSUEL PARMI LES PARTICIPANTS AU SITE |
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premier arrivé, premier servit. Voici les noms des
récents gagnants qui peuvent communiquer avec le Club des Monstres: |
DVD NTSC ZONE 1 ( les images peuvent être différentes du dvd envoyé ) promener le curseur sur l'image pour lire le titre et des détails
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NIGHT
OF THE LIVING DEAD - George Romero avec Duane Jones, Judith O'Dea,
1968, États Unis, 96m Un chef d'oeuvre incontournable qui s'apprécie encore et encore. Mario Giguère |
DVD PRÉVISIONNÉS NTSC ZONE 1 ( les images peuvent différer du dvd envoyé )
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HOUSE OF 1000 CORPSES - Rob Zombie, 2003, États Unis La soirée avant l'Halloween, quatre journalistes écrivant un livre sur les attractions routières deviennent les prisonniers d'une famille de meurtriers complètement cinglés. L'histoire du premier film de Rob Zombie s'arrête là, le reste du film étant semblable aux vidéoclips du chanteur de métal : un montage rapide d'images étranges et choquantes qui vient rapidement frustrer le spectateur qui a l'impression de perdre son temps. En effet, il est impossible de suivre le récit, aussi mince soit-il, puisque le film est continuellement entrecoupé de léger inserts tournés sur 8 mm montrant les personnages du film racontés des stupidités aux spectateurs. Un tel concept peut bien marcher lors d'un clip de trois minutes, mais sur un film d'une heure et demie, il devient rapidement agaçant. Zombie a réussit à avoir une belle brochette de comédiens, dont Karen Black et Bill Moseley, mais ils jouent des rôles dans lesquels on est habitué de les voir et il devient presque navrant de voir des vedettes de films d'horreur prisonniers une fois de plus de leur stéréotype. Le film a eu un certain intérêt sur l'Internet grâce à sa réputation d'opus de la violence, mais il ne s'agît pas du tout d'un "gore fest", les rares scènes sanguinolentes n'étant pas plus choquantes que les vieux EC comics. Lors de mon visionnement, je me demandais pourquoi la majorité des réalisateurs voulant relancer le film d'horreur s'entête à faire des hommages à leurs classiques préférés ( THE TEXAS CHAINSAW MASSACRE dans le cas présent) plutôt que de tenter de faire quelque chose d'original. Cela ne fait que donner le goût de se taper des films d'exploitations des années 70 au lieu de jeter un coup d'oeil sur les oeuvres toutes récentes. En conclusion, HOUSE OF 1000 CORPSES est une sorte de cv où Rob Zombie montre ses capacités de réalisateur et ses connaissances en cinéma fantastique. On n'y donc pas grand intérêt, sauf peut-être celui de l'engager pour faire une preuve plus sérieuse. Oncle Freak Quatre jeunes gens espèrent voir l'arbre ou a été pendu le Docteur Satan lorsqu'ils ont une crevaison. Ils seront hébergés par une famille fort peu recommandable... Dès les premières minutes le constat se fait: nous sommes en présence d'un réalisateur de la génération vidéoclip qui aime les films d'horreur des années 70. Le mélange est surprenant, le montage rapide étant en complète contradiction avec une montée d'adrénaline normale. Coller la frénésie de 2003 à un scénario hommage des années 70 est parfois jouissant mais la forme est en contradiction avec le fond. Ceci dit, si non ne boude pas son plaisir, il y a de très bons moments à savourer et un final qui vaut le coup d'oeil. Zombie n'évite pas d'énormes clichés, mais cela semble intrinsèque au projet. Karen Black s'amuse comme une petite folle et Sid Haig saute la coche parfaitement. Pour une fois, si on compte rapidement les cadavres dans le sous-sol, on a un titre qui n'est pas exagéré ! Mario Giguère |
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PROFONDO ROSSO aka Deep Red aka Les Frisssons de la Terreur aka Les Frissons de l'Horreur aka Hatchet Murders - Dario Argento avec David Hemmings, 1975, Italie Dernièrement je souhaitais initier mon amie au cinéma d'horreur italien et finalement mon choix s'est porté sur Profondo Rosso (les frissons de l'Angoisse) dont j'avais un souvenir palpitant, ça ne lui a pas déplu mais comme elle dit " c'est pas un chef d'uvre " ce en quoi j'ai répondu que " dans son style " si ! D'abord il y a David Hemming qui est presque bon (d'ailleurs il a fait quoi d'autres à part blow up ???) et Macha Meril c'est dire. Il y a un très bon suspense notamment avec le rebondissement de la fin avec la mère. Comme dans tous les Argento on part d'une scène mal vue par le héros (là il s'agit d'un miroir qu'il confond avec un tableau). On part sur beaucoup de fausses pistes, et le personnage de la petite fille est très réussi et ambigu (avec la torture du lézard). Le côté Giallo est réussi avec des superbes scènes de tranchage (sur une vitre par un collier...) d'éclatement de dents (contre la cheminée) et d'écrasement (le pote du héros un temps soupçonné se fait écraser la tête par un camion. Comme toujours Argento ne nous épargne aucun détail et le film se termine sur le reflet du héro sur une flaque de sang... Magistral !!!! Richard Ludes |
Nos gagnants précédents
BRAINIAC: El
Guapo de la Muerte |
MONSTER:
Kerozene, Marc Evil |
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